Dolores :
Est-ce que ce qui est beau est forcément triste ??? La mélancolie fatale est ici de mise. « Le môme éternel » un surnom qui lui sied à merveille. La voix qui vous caresse assurée par des mots toujours près à en découdre avec les sentiments amoureux. Murat n’a pas l’âge de raison.

Lilith :
Hommage à la femme non soumise. Murat glisse dans son romantisme naturel des pincées d’humour, ose l’audace de l’écriture allié à une originalité musicale. Un voyage qui ne cesse de surprendre. Un album qui coupe l’herbe sous le pied à tous ses détracteurs. Un disque irréprochable !